Le travail a plein temps des femmes de prêtres maronites

-« Nous avons deux enfants et le coût de la vie au Liban est élevé. Mon mari, le prêtre, enplus de son ministère sacerdotal, donne des cours à l’université pour pouvoir subvenir auxbesoins de la famille. Je travaille aussi à plein temps, cela n’est pas évident. »
-« Le salaire d’un prêtre est limité. Je travaille à plein temps pour subvenir aux besoins de lafamille et pour garder la paix de notre foyer. Ce n’est pas toujours si facile. Pourtant, nous n’avons jamais manqué de rien. Dieu a pourvu à tous nos besoins et beaucoup de nos désirs. »