La relation dominant-dominé(s) appliquée au plus haut niveau politique devait commencer dans la cellule familiale, puisqu’une femme soumise au diktat de l’époux n’avait pas d’autre choix que celui d’éduquer des enfants, d’accepter le despotisme familial, et au-delà, d’admettre, sans jugement, le despotisme de la gestion politique ; despotisme familial et despotisme politique étant les deux faces de la même monnaie, et considérés, de surcroît, comme émanant d’un ordre sacré.