Il (Fakhr al-Din) prenait l’initiative de gérer lui-même les affaires de son royaume et d’administrer ses finances, il améliorait ses affaires grâce à sa forte intuition. Il était résolu, ferme et intelligent. Il compatissait avec le riche et avait pitié du pauvre. Il était soumis à Dieu et au Sultan, payait son dû mais il était envié, car tout bienfaiteur est envié.