Adiaphora (choses indifférentes) selon Luther

Je tiens pour libres les images, les cloches, les vêtements liturgiques, les ornements d'église, les cierges d'autel et toutes choses semblables. Celui qui le désir peut les laisser de côté, quoique les images tirées de l'Ecriture et des bonnes histoires me semblent très utiles, entre que libres et laissées à l'appréciation de chacun ; car je n'ai rien à faire avec les iconoclastes.

Source : Martin LUTHER, Œuvres, t. 6, Genève, Labor et Fides, 1964, p. 184. Extrait de l'ouvrage : De la cène du Christ (1528).

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