Mas‘ûdi, Les Prairies d'Or
« Les savants et ceux qui se servaient de cette écriture ayant disparu, et l'Egypte ayant été occupée tour à tour par des peuples [étrangers], les diverses formes d'écriture des Grecs prévalurent. Les Coptes, qui étaient encore capables de lire les anciens caractères, les mêlèrent à ceux des Grecs pour créer une écriture hybride intermédiaire entre les deux systèmes, de sorte qu'ils perdirent l'usage de l'écriture de leurs ancêtres »
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Mas‘ûdi (texte résumé, §813).
Mas‘ûdi, Les Prairies d'Or, trad. française de Barbier de Meynard et Pavet de Courteille, revue et complétée par Charles Pellat, Société Asiatique, Collection d'ouvrages orientaux, 2 vol., Paris, 1962.